C'est un samedi soir, comme les autres. Nous sommes gaiement avachis autour d'une bonne bouteille de vodka en échangeant des propos badins, sarcastiques, allègres.
On rigole bien.
"- Tiens, et si on mettait un peu de musique pour animer la soirée ?
- Vas-y balance la sauce".
Mon ami insère un cd dans son lecteur. Après un petit cliquetis électronique, on entend le cd se mettre en branle puis tournoyer sur lui même. Les premières notes arrivent.
Nous tendons les oreilles.
Ce sont les strokes.
Alors un flot de mélasse verdâtre se répand dans l'atmosphère. Le bassiste envoit un trille de notes graves bien insistant. Une guitare aigüe vient monotonement l'accompagner. Je retiens péniblement un bâillement. Puis arrive la voix trainante de Julian Casablancas. Il vient nous déballer sa douleur comme d'autres dévoilent leur bite devant les écoles maternelles : avec obscénité. Il se sert de ses cordes vocales pour escalader toutes les montagnes de la geignardise. Il parvient rapidement à des sommets de jérémiades. Cette fois la soirée entière est noyée dans la minablerie. Nous parvenons difficilement à maintenir nos paupières ouvertes. Toute conversation a cessé. Quelques minutes plus tard nous allons nous coucher en accusant la fatigue.
Ah les strokes ! Ils en auront plombé des soirées ! Ils en auront provoqué des crampes de mâchoire et des comas anti-éthyliques !
Je ne comprends pas pourquoi certains crétins s'acharnent à apprécier cette saloperie. Moi même j'ai honte d'écrire sur un sujet aussi médiocre, mais puisqu'on s'acharne à m'encombrer les oreilles avec cette daube il faut bien que je me décide à mettre les pieds dans le plat de merde.
Les strokes sont des branleurs. Il faudrait les castrer pour qu'ils cessent de nous asperger de leur urine hyperboréene.
Avec eux, mêmes les culs de bouteille d'eau minérale restent humides !
Ils feraient débander un âne et colleraient une dépression au plus lubrique des bonobos.
Leur musique est fade, vide, médiocre, lénitive, pénible, prévisible, pleurnicharde, chiante, sans âme. C'est le remède le plus efficace qu'on aie trouvé contre l'enthousiasme et le panache. La voix de leur chanteur est insupportable de sensiblerie toc. Il s'étale du poids de toute sa vulgarité yankee sur chaque fausse note. Chaque syllabe semble durer un quart d'heure (et un quart d'heure qu'on passerait chez le dentiste). Et ses raclements de gorge ! Sa voix d'ado ! Ah quelle fadasserie indigeste ! Quelle bouillie sirupeuse de fausses larmes écoeurantes ! Tout y est lisse, propre, stérile. C'est de la musique pour hôpital, jouée sous sédatif !
C'est encore sur scène qu'ils démontrent le mieux toute l'étendue de leur manque de talent. Le terme de statique est encore trop faible pour décrire leur immobilité de cadavres en blouson de cuir. On y voit parfaitement à quel point tout, chez eux, est calculé, étudié, bien lisse et bien propret. Il n'y a pas une note qui déborde. Même le docteur Frankenstein ne parviendrait pas à animer ces macchabées aux cheveux filasses. On y chercherait en vain la moindre trace d'improvisation, de courage, d'énergie, d'art, de talent, d'âme ou même de vie. Quand les Strokes seront grabataires on ne s'en apercevra même pas, tant ils sont déjà léthargiques.
"On the other side", hymne fade à la haine de soi chantée en chœur par toute une génération de névrosés.
Leur insignifiance est toute entière incarnée par Julian Casablancas, avec son affligeante gueule de cocker affligé. On dirait une asperge fânée. Une ortie sans feuille. Une limace désséchée. Ah il ne manque pas d'impudeur, ce plouc, à vouloir nous faire pleurnicher sur ses malheurs de milliardaire insensible. A l'entendre chanter on pourrait croire qu'il a connu toutes les souffrances du monde, mais non, ce n'est qu'un fils à papa dont le seul malheur est d'être lui même, c'est-à-dire personne.
Tout ce que sa biographie de wikipédia trouve à nous raconter c'est qu'il s'est écorché le genou lors d'un barbecue. Quelle vie terne ! Julian Casablancas n'a pas l'once d'une quelconque forme de personnalité. Il est la banalité faite larve.
Ah oui, on y apprend aussi qu'il a arrêté de fumer. Il est vrai que c'est mauvais pour la santé. D'ailleurs quand on voit sa face délavée on pourrait croire qu'il l'a déjà chopé son cancer, qu'il est sous chimio, mais non, il est comme ça naturellement : en décomposition.
Julian Casablancas n'a pas de vie, pas de personnalité, pas de talent, pas de charisme, pas de présence, pas d'humour, pas d'originalité, pas de style, pas d'idée, rien. Dès lors que peut exprimer sa musique sinon ce néant total ? Cette platitude molle ?
Souvent quand je souligne la fadeur invraisemble de ce dépressif blême, on me rétorque que cela n'a rien à voir avec la musique. Comme si l'art n'avait rien à voir avec l'artiste ! Rimbaud n'aurait jamais pu écrire une Saison en enfer s'il avait mené une existence de bourgeois ventripotent, et si Casablancas est un bourgeois rachitique, sa musique ne peut être que l'expression de cette totale inconsistance.
"I've got nothing to say". Julian n'a rien à dire, mais il le fait savoir hélas.
C'est d'aileurs au fond la raison pour laquelle les strokes ont autant de succès de nos jours, ce sont les chantres du toc, du factice, de l'ennuyeux, du monotone, de l'apathie et de l'insensibilité voila pourquoi ce sont les idoles de tous les bande-mous, des peines à jouir, des lâches et des médiocres.
Qu'on les abatte !
D'autant plus que Julian MaisonsBlanches ne mérite même pas sa belle gueule : c'est son père, boss d'Elite qui a profiter de son droit de cuissage de patron, pour engrosser MIss Danemark.
RépondreSupprimerTu as bien raison. Finissons-en avec cette musique pour mongoliens qu'est le rock. Qu'ils retournent dans leur caverne de médiocrité taper dans leurs mains sur "Last Nite" ces cro-magnons dégeulasses, ces faussaires dégénérés.
RépondreSupprimerLes Strokes ne se droguent pas, ne se battent pas, ne se suicident pas, et en plus ils ont le culot d'être bourgeois!
RépondreSupprimerQuelle honte.
Comment les aimer, eux qui n'offrent pas de fantasmer cette vie que nous n'avons pas les moyens (les couilles?) de vivre de nous-mêmes.
C'est bien ça que vous voulez? Des idoles pas "toc", des Pete Doherty (comment faire plus authentique que ce singe tout entier voué au spectacle et à la reproduction de clichés éculés!), des vrais rockers quoi.
Les pisse-froids qui aiment les Strokes! Eux ne savent pas vivre. Ils ne sauront jamais ce que c'est que de se branler en pensant à Pete baisant Kate.
Les bande-mous ont besoin de héros qui peuvent bander pour eux. Les Strokes n'offrent pas ce luxe. Tant pis pour vous.
Vous auriez pu parler de musique au passage. Vous souvenir qu'une chanson, c'est des accords surtout, et qu'il n'y a nul besoin d'être un suicidaire-drogué-narcissique pour enfiler un Do et un La mineur. Evidemment, vous ne pouviez pas vous abaissez à ces considérations, tout occupé que vous étiez à vos fantasmagories d'adolescentes.
Monsieur, vous êtes une pisseuse.
Tu pourrais signer tes commentaires Julien quand même.
RépondreSupprimerLe postulat d'une nécessaire prolongation du moi biographique dans le moi discographique mérite tout de même un peu de déconstruction, ou du moins que l'on ne se borne pas à l'état d'évidence. Dire que les strokes n'expriment rien, parce que son chanteur et compositeur n'a pas de personnalité biographique, c'est nier en allant un peu vite en besogne, que le moi discographique est le point de départ libre et tout nu d'une série causale, enfin, d'une oeuvre...
RépondreSupprimerBref, tout ça pour dire que vos propos sont assez naïfs, comme si le rock ne pouvait se détacher du lifestyle. Il aurait fallu un peu creuser avant de vous livrer en pature, même si j'en conviens, en tant que fondateur de cul sec, que la gratuité et l'emporte-pièce sont les piliers de notre écriture.
Bref... on aurait pu se passer de cet article...
Je ne signe que si Valery le fait aussi.
RépondreSupprimer"Vous auriez pu parler de musique au passage. Vous souvenir qu'une chanson, c'est des accords surtout, et qu'il n'y a nul besoin d'être un suicidaire-drogué-narcissique pour enfiler un Do et un La mineur.".
RépondreSupprimerSi pour vous une chanson n'est qu'un assemblage d'accords, alors vous avez raison, n'importe quel crétin (à commencer par Julian Casablancas) peut devenir musicien.
Avec un point de vue tout aussi prosaïque on peut aussi dire qu'une cathédrale n'est qu'un assemblage de cailloux et qu'un Raphael ce n'est qu'un peu d'huile étalée sur de la toile.
C'est le cas si on considère que l'art n'est qu'une forme. Vous me permettrez, sinistre anonyme, d'avoir une vision un peu plus élevée de l'art. Moi ce qui m'intéresse c'est l'esprit qui anime la forme, et je me contente de constater que dans le cas des strokes il n'y en a aucun. Ce n'est qu'une simple forme vide de sens. Et encore une forme médiocre, lancinante, banale et ennuyeuse.
D'ailleurs vous êtes un menteur, j'ai parlé de leur musique, puisque j'ai dit qu'elle était pourrie.
"Le postulat d'une nécessaire prolongation du moi biographique dans le moi discographique mérite tout de même un peu de déconstruction, ou du moins que l'on ne se borne pas à l'état d'évidence."
Il s'agit pourtant de la plus banale des évidences et le fait que vous en doutiez prouve que vous n'entendez pas grand chose à l'art. Quand on est génial on l'est sans cesse, et pas seulement de temps en temps et on ne verra jamais un type médiocre .
Un bon musicien ce n'est pas un premier de la classe au cours de musique, ça n'a rien à voir avec ça. Casablancas a la personnalité d'une huitre lymphatique (d'ailleurs même en critiquant mon article vous n'avez pas osé remettre en cause cette implacable vérité). Or exliquez moi un peu comment un type inintéressant pourrait produire quelque chose d'intéressant ?
Quand on est une merde il est logique qu'on produise de la merde. Désolé si vous avez marché dedans.
c'est vous qu'on devrait abattre, quelle tristesse d'éprouver autant de haine envers les autres et de juger aussi vulgairement le goût des autres ... m'enfin bon, chacun fait ce qu'il veut et si ça vous amuse de vous abaisser ainsi, bonne continuation!!!
RépondreSupprimer"Or exliquez moi un peu comment un type inintéressant pourrait produire quelque chose d'intéressant ?" j'interviens rapidement à la découverte de ce blog pour dire qu'à l'extrême opposé de votre propos le charisme ne fait pas le musicien non plus, assimiler le rock à une attitude est une impasse aussi. Des musiciens comme Jason Lytle, ont certes un charisme d'huitre, mais signent de grands albums. tout comme estimer que le journalisme consiste à trouver un maximum de synonymes pour descendre quelqu'un, on pourrait alors vous rétorquer que vous êtes un mauvais Yann Moix, que vous devez sans doute adorer... les strokes sont peut être over rated, mais pondre un article de ce genre n'est ce pas alors aussi facile que de composer this is it. En fait il s'agit ici de s'abaisser au niveau de ce que l'on critique. Chercher des choses à adorer et à promouvoir n'est ce pas plus constructif? en dehors de cet article blog original dans sa verve. vous pourrez venir cracher sur le mien si le coeur vous en dit. cheers
RépondreSupprimeret se baser uniquement sur wikipedia et quelques impressions perso pour parler des Strokes, quelle pertinence!!! Le style des Strokes a été l'origine de tous les mouvements "hype" qui sont venus après: tous les The band, les Libertines (que vous semblez chérir autant, moi aussi d'ailleurs mais là n'est pas le sujet) ont été lancés APRES les Strokes, c'était la réponse britannique à ce phénomène US que les Strokes ont créé!!! Quand on touche ainsi aux Strokes, le minimum aurait été au moins de bien s'informer sur eux ...
RépondreSupprimerJe vois dans cet article l'apologie de ce que tu sembles vouloir dénoncer, à savoir la haine de soi. Avec férocité et malgrès toi, tu projettes ta propre haine sur le monde et plus particulièrement sur un groupe qui n’as d’autre prétention que de se faire plaisir, ce qui est déjà courageux. Avant de continuer je tiens à ce qu'il soit clair que je juge la "production écrite" et non l'auteur, bien que ce ne soit ni l'envie, ni les arguments qui manquent. Voilà déjà quelque chose que tu devrais apprendre, laisser de côté la bête et faire parler le surhomme (cf. Nietzsche), si toutefois ce penchant existe chez toi. BAM! +1
RépondreSupprimerCe réquisitoire malveillant qui suinte la rage et la jalousie ne met donc pas en avant tes qualités d'écrivain mais tes défauts. En effet, sans te connaître, la personne qui transparaît dans cet article pue la rancoeur et la mesquinerie. Il en émane quelque chose de ces ratés, ces critiques d'art, qui se donnent le droit de juger ce qu'il ne connaissent pas et que leur sensibilité n'est pas à même de saisir tant ils sont lovés dans leurs carcans de certitudes qui les protège de leur propre médiocrité. Moins on a de pouvoir, plus on en abuse.
Premier argument contre ta théorie fumeuse:
Les Strokes serait un groupe ennuyeux, sans âme et sans vie. Admettons. Jugement purement subjectif mais il me plaît de croire que l'objectivité n'existe pas.
En revanche, tu dois savoir que ce qui surprend, ce qui est inhabituel, ce qui choque, ne peut se laisser apprécier qu'en prenant le risque d'y goûter (exemple: le café, le vin, le jazz). Je ne suis pas sûr que ta première gorgée de vodka fut agréable. Les Strokes ne sont certes, pas un groupe qui fait dans le déjà-vu ou la facilité. Si tu veux quelque chose à laquelle ton oreille de sous-développé soit habitué il est évident que ce n'est pas dans ce rayon qu'il faut chercher, mais plutôt dans variété française ou death métal c'est du pareil au même.
Secondo tu dis que Casablanca épanche sa souffrance dans ses textes puis tu lui reproches de chanter qu'il n'a rien à dire...ça va t'es pas du tout du genre à te plaindre toi non plus. I've got nothing to say. J'aime la contradiction quand elle est assumée, ce qui n'est pas ton cas. BAM! +2
Pourquoi lui reprocherait-on de ne pas avoir la prétention d’écrire comme Baudelaire si pour lui l’important n’est pas d’avoir une raison de chanter mais l’envie de chanter? Pour ma part je préfère un type qui assume sa simplicité sans orgueil qu'un autre, qui par culpabilité de vivre veut faire du compliqué et le fait mal (je ne vise personne). Peut-être préfères-tu les grandes épopées rock à la guns'n'roses qui ne veulent rien dire mais qui se prennent au sérieux?
Tertio, Casablanca et ses acolytes seraient des mous, dépressifs et sans intérêt et par conséquent feraient logiquement de la musique à leur image. Argument digne d’un mauvais sophiste. Il faut distinguer l’ oeuvre de l’artiste cela me paraît plus qu’évident et même d’une telle banalité que l’on enseigne cela aux gamins de collège. En effet Céline et Wagner pour ne citer qu’eux n’étaient en terme d’éthique pas très fréquentable, l’un antisémite et l’autre loin de cacher ses sympathies pour le régime nazi. Cela ne les empêche pas d’être étudiés dans les plus prestigieux lycées de France et dans les plus hautes écoles de musique. Réfléchi 5 secondes, un type peu être un sale con et savoir très bien réparer les chaudières. Le jour où la tienne tombe en panne tu vas faire passer un test psychologique au réparateur? Et si ce dernier ne te conviens pas tu vas te laver à l’eau froide le restant de tes jours ? Oui j’émet l’hypothèse que tu te laves mais c’est vrai que pour faire du rock pur et dur il faut être dégueulasse non ? BAM ! NEW LEVEL !
(Suite plus bas)
Enfin, on arrive au summum de la débilité (oui on dit débilité, je te signale que débilitude est un mot qui à ce jour ne fait pas partie de la langue française) dans une conclusion aussi fine dans le fond que dans la forme.
RépondreSupprimerJe cite:
"ce sont les idoles de tous les bande-mous, des peines à jouir, des lâches et des médiocres."
Je t'invite, ô courageux écrivain, à aller dire aux bande-mous ce que tu penses d'eux en personne. On verra lesquels sont des lâches. En attendant tu n'as rien prouvé.
Pour conclure, tu reproches aux Strokes d'être en dehors de tous les clichés du rock à savoir jouer les mauvais garçons (ce qui aujourd'hui relève de la banalité voire d’un manque de personalité), se défoncer la tête, et faire de la musique primaire aux accent archaïques d'un monde uniquement livré à ses pulsions animales bref tout ce qui rend docile aux normes d’une société qui ne met assurément pas l’intelligence sur un piédestal. Je viens de démontrer que tout ce que tu as prouvé c'est que tu es toi-même la source de cette colère que tu déverses sur le monde et que tu devrais allez voir un psy. D'autre part, tu as beau avoir une grande gueule, sache que ce n'est pas celui qui parle le plus fort qui parle juste et si ce site s'appelle cul sec, sache que le tiens est si crâde qu'il mérite à peine une feuille de papier de verre pour l'essuyer.
Wagner soutenait le régime nazi ??? Ah, l'enfoiré !
RépondreSupprimerC'est quand même marrant d'attaquer sur le terrain de la psychologie, un type à qui on fait précisément le reproche de critiquer une oeuvre à partir des dispositions psychiques du créateur.
RépondreSupprimerSi cet article est scandaleux, ce n'est pas à une quelconque pulsion morbide de son auteur qu'il faut l'imputer. On à toujours de mauvaises raisons de faire ce que l'on fait, et le pur naît toujours de l'impur.
Le seul argument digne d'être retenu contre ce brûlot insipide, c'est précisément son insignifiance. Vide de toute considération proprement esthétique, cet article fait figure de sac à vomi : l'auteur y compte complaisamment les morceaux, nous expose son indigestion, confondant critique culinaire et gastroscopie. Ajoutez à ça la diarrhée verbale qui fait figure de "style", le diagnostic est clair : c'est une bonne gastro.
C'est quand même marrant, dans un blog écrit par des fils à papa, de reprocher à des types qui ont du succès d'être des fils à papa.
RépondreSupprimerPersonnellement, si j'avais eu l'occasion d'acheter une gibson SG à 12 ans, j'aurais pas craché dessus. Alors bon, je te propose critiquer les inégalités sociales du monde entier avant de t'attaquer aux strokes, enfin un combat sensé!
Après, la posture "riche qui se la joue manteau en cuir", j'pense que tu peux regarder un peu tous les auteurs de ce blog avant d'attaquer Julian Casablanca, et si tu n'as pas le recul nécessaire pour ça, va au moins dans la rue mettre des claques à tous les types qui se baladent avec des jeans déchirés à 150 euros. Là, tu me feras plaisir, on pourra même devenir ami pour la vie. D'autant plus que je n'aime pas les strokes non plus, mais ta diatribe me fait un peu penser à ça : http://www.nextclues.com/index.php?affiche=L3JlY29yZHNfc2VsZWN0ZWQucGhwP2lkcmVjb3Jkcz00ODk0 , les attaques personnelles en plus.
En gros, un article inutile pour aller à contre courant, parce que ça fait toujours plus cool de critiquer ce qui est mainstream pour mieux montrer qu'on apprécie le krautrock alors que 95% de la population ne sait pas ce que c'est.
C'est vrai que nous autres amateurs des Strokes, on est des sacrés pisseux!
RépondreSupprimerHaha!
Dommage, votre article est pas mal écrit, mais si c'est pour écrire ça, c'est pas la peine, vraiment!
La prochaine fois, contentez-vous de critiques constructives (parce que non, "j'ai parlé de leur musique, puisque j'ai dit qu'elle était pourrie" n'a aucune valeur critique) et parlez musique, pas barbecues ratés trouvés sur wiki . . .
J'ai cru comprendre, par un ami, que je vois qui vous êtes (du moins, de quel cadre social et relationnel), et sans émettre de jugement de valeur (et oui, je suis un de ces "ouverts d'esprit" que vous semblez tant mépriser), ce que je lis là, c'est l'hôpital qui se fout de la charité (j'ai d'ailleurs beaucoup ri)!