« Bite et biture ». Voilà comment on m’avait résumé le Critérium, la réunion annuelle des étudiants en médecine. « Si tu veux voir des jeunes filles de bonne famille se rouler nues dans la neige en se faisant pisser dessus par leur copain, viens au CRIT, m’avaient indiqué mes informateurs, mais attention : tout ce qui se passe au CRIT reste au CRIT », ajoutaient-ils.
Il n’en a pas fallu plus pour me donner envie de tout raconter. Poussé par la curiosité et un soupçon de vice, je n'ai pas hésité à donner de ma personne pour te tenir informé, cher Lecteur. Accroche-toi, voici une plongée en eaux profondes dans un océan de mauvais goût. Après ça, t’auras plus jamais envie de confier ton corps à ton médecin.
Un doctorat de scatologie
Le principe du Critérium est simple. Prenez une station de ski isolée du reste du monde, ajoutez 2000 étudiants qui rongent leur frein toute l’année en moisissant dans leur bibliothèque universitaire, et versez-y beaucoup d’alcool et de drogues en tout genre. Vous obtenez un cirque humain, une démonstration des instincts les plus bestiaux, une débauche dont voici le récit.
12h. A peine arrivé, la couleur est annoncée et je pressens que ce sera le ton de toute la semaine. Trois étudiants - deux garçons et une fille - coiffés de la "faluche", le bonnet traditionnel des carabins, se roulent nus dans la neige. Ils n'ont pas froid aux yeux ni au reste. Donner dans la surenchère de chair, c’est naturel ici. Et pour me montrer à quel point ils sont "hot", l’un se met à sucer une glace en prenant la bite de son collègue de travail pour bâton. Il n’en a pas laissé une goutte. Il faut dire que la fille ressemble plus au Yéti qu’à la Vénus de Milo, c'est pour ça qu'elle se permet de déballer le paquet d'emblée. L'état d'esprit, ici, c'est un peu la revanche des filles moches. Beaucoup attendent ainsi toute l'année pour profiter d'un mec un peu trop saoul qui n'hésitera pas à les troncher. Ce sont donc les laiderons qui mettent l’ambiance et qui se désapent plus vite que les belles (ça évite qu’on s’attarde trop longtemps sur leur faciès ingrat).
Un début de journée dans la plus pure tradition carabine : miam !
17h. La fièvre ambiante ne faiblit pas de la journée. Tous les « critards » sont vêtus de cottes aux couleurs de leur ville, selon les règles du folklore carabin. Atmosphère carnavalesque au milieu des sommets enneigés. Les montagnes, qui renvoient l'écho des baffles 24 h sur 24h, servent simplement de décor. Car ici, on descend plus de canettes que de pistes de ski.
Mais les pics des Alpes ne sont pas les seuls témoins de cette débauche. Les familles qui sont venues faire du ski à Schizoland se disent qu’elles feront plutôt de la rando la prochaine fois. « Maman, qu’est-ce qu’ils font les gens là-bas, avec leurs seaux ? » Eh bien c’est simple mon enfant, une bataille de merde. Ayant déféqué dans ce réceptacle, deux jeunes gens pleins d’avenir se poursuivent à travers la station pour se jeter leurs étrons à la figure. L’un d’eux, constipé sûrement, s’aidera même d’un bâton pour racler le fond afin que l’autre n’en perde pas une miette. Le tout sous les applaudissements nourris du reste des étudiants. Régression en phase anale, distinction du caca.
Bon goût et élégance : je ne me suis pas trompé d'adresse !
Ici, les codes sociaux changent. Pisser sur ton voisin, chier dans son appartement sont intégrés comme des attitudes normales, voire encouragées. Le problème, c'est que les riverains qui ont réservé pour cette période ne partagent pas forcément les délires carabins. Pour preuve, un étudiant finira la nuit en cellule de dégrisement pour avoir uriné sur une vieille. Dur, quand t’as 3 grammes dans le sang, de se rappeler que se balader à poil et se taper des délires scatologiques ne sont plus tolérés en dehors de l'espace réservé aux étudiants.
Après une bonne bataille d'étrons, rien de tel que
de se réconcilier dans la fange !
19 h. Le sol de la station commence à se retrouver jonché de cadavres de bouteilles, auxquels viennent se mêler quelques cadavres de carabins. Plusieurs étudiantes, qui ont bu un coup de trop, s'écroulent dans la boue. Petit à petit, la station se transforme en décharge géante. Une unité de SAMU a pris place et commence à s'activer, essayant de regrouper ceux qui sont le plus mal en point. de se réconcilier dans la fange !
21 h. Alors que les réjouissances commencent tout juste, j'en suis déjà à me demander ce que je peux voir de mieux à te rapporter, cher Lecteur. Attends, tu ne vas pas être déçu. A peine la soirée déclarée ouverte, je me précipite sur l'open bar comme de juste, sauf que là surprise : pour consommer il faut sucer. La barmaid est affublée d'un énorme godemiché et m'enjoint de lui faire une petite gâterie si je veux picoler. Heureusement, mon voisin gourmand s'en charge pour moi et l’engloutit jusqu’à la garde : j 'obtiens un verre sans payer de ma personne.
Jusqu'à la garde !
Mais un peu plus loin, une autre épreuve m'attend. La soirée d'ouverture n'a pas commencé depuis dix minutes, que déjà des "critards" sont montés sur les tables, le sexe à l'air, invitant les étudiants à le tremper dans leur verre en signe de bienvenue. Une tradition qui est appelée ici un « Dagobite » (Dagobert avait pourtant juste mis sa culotte à l'envers, pas sa bite dans un verre). Et les « critards » d'accomplir ce rituel, en remerciant ce joyeux luron.
Deux Dagobites en action
22h. Alcool, joints, poppers, ecstasy, ici tout est permis. Mais pas de cocaïne. Alors on sniffe de la poudre laxative, faute de mieux. Stéphanie, jeune étudiante romantique : « J'ai eu du mal à avoir ma première année, j'ai 8 ans d'études qui m'attendent, il faut bien décompresser. Donc, je suis là pour trouver un mec bien gaulé et me faire rincer la chatte », m'explique-t-elle avant de repartir en titubant.
J'essaie alors de me livrer à une sociologie compréhensive : les pauvres carabins sont harassés de travail, de stress et se préparent à un métier difficile. Il est normal qu'ils se trouvent quelques exutoires. De plus, leur côté pour le moins décomplexé peut s'expliquer par un rapport au corps différent du reste de la population. Chacun d'entre eux est habitué à voir des cadavres d'anatomie disséqués ou des patients à poil toute la journée. Leur bataille de merde et de bite à l’air, c’est la caricature d’une réalité du travail bien réelle, l’exagération de ce qu’ils voient au quotidien à l’hôpital. Cet exhibitionnisme scatologique n'est rien d'autre qu'une sorte de catharsis collective, un rite expiatoire qui leur donne la force de repartir à l'assaut de la maladie et de la mort. Ils sont peut-être plus vrais que le reste de la population qui n’a jamais vu un mort, met ses vieux à l’hospice et est dégoûté par le moindre contact avec la chair de l’autre, si ce n’est à travers les nus érotiques des publicités.
Mais pendant que j'essaie de leur trouver des excuses, un faluchard, le caleçon baissé jusqu’aux chevilles, vient me vomir sur les chaussures. Du coup, je ne vois pas d'autre attitude à adopter que de lui fourrer le nez dans sa gerbe comme un chien dans sa merde pour qu’il apprenne.
Plongée dans le Baisodrome
2h. Ouverture des Chambres à Thème. Dans la Chambre Disco, trois jeunes filles en combinaison à paillettes servent des gins tonic dans des verres fluorescents. Dans la Chambre Garage, les serveuses se sont enduit le corps de graisse et me laissent des traces noires quand je les embrasse. Plus intriguant : la Chambre Vagin. Question de savoir-vivre, pour traverser la porte à poil, avant d’entrer dans un couloir de velours rose, il faut malaxer délicatement le clitoris situé à l’entrée, ce qui provoque les cris des filles qui gardent la porte.
Allégorie : une tête de bite (en bonnet) s'apprête à pénétrer dans une porte de poils
Mais la salle qui m'intrigue le plus, c'est le Baisodrome. Je me fais d’abord refouler, comme tous les voyeurs : « Si tu veux rentrer, il faut baiser. Et pour baiser, il faut être au moins deux ». Après ces fondamentaux rappelés par le videur, je suis obligé de tourner les talons et de laisser passer les couples ou les groupes qui se succèdent dans cette antre lubrique. Mais l'envie de t'informer est plus forte que tous les videurs, cher Lecteur. Après quelques flatteries et quelques verres, je persuade donc une petite mignonne de m'accompagner dans le Baisodrome.
Ce soir, je serai la plus belle pour aller danser !
A l'intérieur, musique d'ambiance, lumière rose tamisée, des matelas posés à même le sol, séparés par des draps qui s'agitent doucement. Les étudiants sont invités à baiser sur des lits humides. L'alcool aidant, ils ne sentent pas trop l'odeur violente de foutre qui se dégage des draps. Et si une panne se présente, ils peuvent toujours se servir du godemiché qu'on leur a remis à l'arrivée dans le pack de bienvenue. La petite mignonne commence à arracher mes vêtements avec enthousiasme. Sa frénésie sauvage me redonne un peu d’énergie et je sors alors de mon rôle de strict observateur pour entrer dans l’action. Un peu de sociologie participative n’est-elle pas la meilleure façon de comprendre son sujet ? Je fais rapidement voler sa guêpière, ses bas et le reste suivent bientôt le même chemin.
Mais derrière l’ethnologue chevronné, je suis un garçon sensible : les draps humides, l’odeur de sperme, le trop-plein d'alcool et le couple de gays en rut qui baise juste à côté de nous freinent quelque peu mes ardeurs. Malgré la fougue de ma partenaire, je ne suis pas prêt pour l’ambiance partouze. Je laisse la petite mignonne retrouver toute seule son string et je me défile.
Une fois dans ma chambre, je fais les comptes. Le retour à la vie normale s'annonce difficile. Au bout de deux jours de ce traitement, mon corps est en manque d’alcool, mes habits déchirés, et j’ai chopé la « criteriose » : je crache mes poumons toutes les trois minutes.
Merde, il va falloir que j’aille voir mon médecin.
Une plongée dans le stupre médical. Un reportage limpide et ahurissant, écrit (nul doute) par une personne ad hoc(teur). On en redemande. A quand la plongée dans les soirées d'écoles de commerce ?
RépondreSupprimerRonand Anonyme.
PS : Quid par contre du droit à l'image des personnes ci-représentées ?
Quand Cul Sec racle les fonds de disque dur...
RépondreSupprimerSpectaculaire et décapant. Poignant et saisissant.
RépondreSupprimerBeau reportage de journaliste en herbe qui dénonce la façon dont se défoule une minorité
de carabins (étudiants en médecine).
A la demande de Valéry, je vais tenter d'apporter quelques précisions pour que notre cher lecteur ne soit pas induit en erreur...
Sur les quelques 30 000 étudiants en médecine de France toutes promotions confondues, près de 2000 environ participent au Crit' chaque année. Y particpent souvent les plus jeunes ou les mêmes anciens sur plusieurs années consécutives. La plupart des autres carabins ont probablement d'autres centres d'intérêts...
Une grande majorité des 2000 étudiants au Crit' ne particpent pas aux pires exactions que Clément décrit, même alcoolisés... Je pense que les 2000 étudiants n'étaient pas tous au baisodrome. Ils sont plus souvent complices de leurs amis en mal de reconnaissance ou en parfois en excès de confiance...
De plus, ce type de pratique existe dans bien d'autres disciplines professionnelles voire dans la société civile (clubs échangistes +/- bisexuels...). Ces faits relatent plus de mécanismes ubiquitaires: un individu stressé par son job ou ses propres névroses aura plus besoin de se défouler (il le fait plus ou moins de manière saine), un individu présentant un handicap social (disgrâce physique, manque d'ouverture d'esprit...) sera de tenté plus facilement de s'intégrer en engageant assez rapidement des rapports sexuels sans en mesurer la portée parce qu'il est en manque de reconnaissance sociale. Cela ne fait pas forcément de lui un professionnel non compétent. A lui de tmpérer ces activités pour ne pas nuire à la société civile.
Merci en tout cas Clément pour la rédaction de cet article qui a pu permettre aux lecteurs en mal de sensations fortes de se délecter, peut-être trop vite...
A bientôt!
J'ai oublié de préciser que ce type de tradition festive minoritaire était déjà dénoncé par Rabelais à son époque... Ceux qui en avaient la connaissance n'auront biensûr pas été surpris par cet article.
RépondreSupprimerMerci encore Clément de nous l'avoir rappelé!
Merci pour ton intervention Kim. Dans une perspective fonctionnaliste, on peut aussi peut-être rapprocher ce type d'épisode avec ce que Roger Caillois nomme "âge d'or" dans l'homme et le sacré, une sorte de désordre qui précède la re-création d'un ordre, une forme renouvelée et contemporaine des Saturnales, où le maître et l'esclave échangent leurs rôle.
RépondreSupprimerMerci d'enrichir les termes du débat. Cul-Sec a, rappelons-le, a aussi une vocation à être un lieu d'échanges et de débats d'idées sur des problématiques qui engagent notre société.
A bon entendeur...
Energiquement,
Valéry!
Kim,
RépondreSupprimerQue tous les étudiants en médecine ne soient pas d'obscènes partouzeurs scatophiles doublés d'exhibitionnistes lubriques, je veux bien l'entendre. Et que d'autres professions aient aussi leur défouloir, je te l'accorde. Mais ce comportement n'est pas que le fait d'une minorité visible, il est assez symptomatique d'une corporation, et relfète un état d'esprit carabin.
Mais même si je suis persuadé que dans la vie courante, les étudiants rencontré là-bas sont tous charmants jeunes gens, et qu'effectivement ce n'est pas parce qu'on joue encore avec sa merde à 20 ans qu'on fera un mauvais médecin à 30, c'était cette dynamique d'intégration par l'excès que je trouvais intéressante à montrer.
(Et puis, il suffit d'entrer une fois dans un bloc opératoire et d'écouter un chirugien un bout d'intestin dans une main, un scalpel dans l'autre, te raconter des blagues graveleuses pour se rendre compte que l'éducation falucharde, ça marque.)
Probablement. A chaque univers, ses phases de cosmos et de chaos...
RépondreSupprimerQuand est-ce qu'on se retrouve pour boire un pot ensemble?
Bises à vous.
Probablement une minorité trop visible qui dérange...
RépondreSupprimerMerci Clément pour nous l'avoir montrée du doigt!
C'est toujours très facile de vouloir faire du sensationnel en sélectionnant ce qu'on veut!
RépondreSupprimerEt l'excuse de jeune sociologue volontaire est un peu facile, je pense que vous en avez profité quand même!
Je trouve votre article gerbant, pas par ce que vous décrivez, mais par votre attitude! Décrire les situations les plus extremes qui ne doivent concerner deux ou trois étudiants sur mille cinq cent, je suis pas sure que ça soit représentatif et journalistique!
Après ce sont des événements encadrés et organisés sur une année, ça n'est pas non plus un état de non droit en milieu des Alpes,une sécurité est engagée 24h/24 pour la semaine.
Et votre info d'une garde à vue de six personnes est fausse.
Donc avant d'écrire cet article nauséabond, je vous prirez de vérifier vos infos!
Et de retirer les photos publiées, qui portent atteinte au droit d'image, car les personnes sont largement reconnaissables.
Après je respecte la liberté d'expression, à condition que celle ci soit fondée, sinon c'est de la diffammation.
La présidente de l'association organisatrice du Criterium (largement mis en cause).
Je reste disponible pour toute réponse.
C'est bien dommage, gâcher une si belle plume! C'est pourtant pas donné à tout le monde d'être si doué dans la langue de Molière...
RépondreSupprimerParce que derrière ce style de haute volée, bien accrocheur, qui ne laisse aucune place au questionnement et au doute et qui au finale me rappelle celui de beaucoup de petits bacheliers voulant impressionner leurs correcteurs en philo par de belles expressions "bien" tournées, on apprend que l'auteur qui se veut neutre, journaliste en plein reportage à risque (ouah le mec prend de gros risques), et bien, il profite du truc tellement à fond qu'il va jusqu'à saouler volontairement une jeune fille "de bonne famille" pour le citer, pour l'emmener au Baisodrome, lui faire "Coucou, tu veux voir ma bite" puis en fait non... (et j'pense honnêtement pas que tu donnes la fin de l'histoire dans ton article, parce que comme tu le dis, t'as chopé la "criteriose" donc tu t'es bien mis la race comme il fait et j'pense pas que tu aies eu ce soupçon d'héroïsme que tu veux faire paraître, comme quoi tu n'abuses pas de cette jeune fille).
Un tel degré de perversité, je pense pas que ça passe une seule seconde à travers la tête des types que tu dénonces... T'es un gros vicelard!
Bon évidement, il n'y a pas que ce moment là dans ton article que l'on pourrait critiquer... Mis à part les bons adhérents de Famille de France et autres sociétés de protections des bonnes manières, qui s'est jamais foutu à poil à 4g? Beaucoup de monde, et pas seulement quelques irréductibles qui auraient pour excuse de faire "comme au travail et en atelier de dissection mais en pire"... Tu sais mon grand, les WEI d'École de Commerce sont bien plus trash, et surtout ne se font pas encore avec la totale volonté des participants... Là chacun est libre, deux trois vont plus loin que les autres et ouah... Ça y est étudiant de médecine = mangeur de caca... Et tu fais Paris - Marseille en 5 minutes à pied avec une pause café aussi... Mais t'es magique!
Ah oui et pour ta culture, faluchard ≠ carabin et la plupart des personnes qui sont les drôles de protagonistes de tes photos, bah ils sont pas carabins... C'est con, le raccourci part à la poubelle...
Pour ce qui est de la salubrité, la sécurité, l'organisation, les services de police... Là aussi tu te fous le doigt dans l'oeil. Je pense que le message de la présidente te l'a fait comprendre, et je pense être mal placé pour en parlé, mais elle l'a fait, alors tant mieux!
Bon après j'suis pas là pour démonter l'article... Non pas du tout...
Bon en tant que protagoniste aisément reconnaissable des deux premières photos, je vais demander une seule fois de les retirer totalement du site dans les plus brefs délais. Merci.
RépondreSupprimerSi ça n'était pas fait, je serais contraint d'engager des poursuites pour atteinte au droit à l'image.
Hé oui, même si l'on aime s'amuser de manière extravagante dans un espace restreint et défini, on n'en est pas moins responsables.
Pour le reste je laisse le soin à chacun de se faire sa propre idée et de ne pas s'arrêter à la représentation que se font quelques uns d'une minorité.
Affaire à suivre de très près.
Le seau, c'était de la mousse au chocolat... C'est facile de faire des raccourcis et de ne voir que ce qui nous arrange... -_-
RépondreSupprimerVous comprendrez bien, cher Monsieur, que nous ne pouvons accorder du crédit à vos accusations de diffamation sur la simple foi de votre commentaire anonyme. Nous vous serions gré de vous identifier et de porter à notre attention de manière plus précise l'objet de vos réclamations sur l'adresse mail de Cul Sec : cul.sec@hotmail.fr.
RépondreSupprimerCeci, bien sûr, afin d'éviter toute démarche judiciaire fâcheuse et de parvenir à un arrangement qui satisfera les deux parties sur le point de litige dont vous avez bien voulu nous faire part.
Cordialement,
Le rédacteur en chef de Cul Sec
scandaleux ! et dire que ce sont ces mêmes futurs médecins qui font actuellement tourner des centres de vaccination pour nous "sauver" de la grippe A, il faudrait les interdire d'approcher nos gamins, ils seraient bien capables de mettre des sales substances dans les vaccins !
RépondreSupprimerLe propos est gerbant, faut pas tout confondre!
RépondreSupprimerEt derrière un pseudo "anonyme" c'est très courageux!!!
Tiens moi aussi je pourrai faire des raccourcis mais je ne le fais pas, peut etre par intelligence, mais vraiment peut-être...
Tout simplement gerbant et inapproprié ce commentaire, faut pas tout confondre...
RépondreSupprimerEt surtout très courageux en "anonyme"...
Moi aussi je pourrai faire des raccourcis mais je ne le ferai pas peut-être par intelligence mais vraiment peut-être!!!
C'est quand même bizarre, je pensais que les présidents de critérium avaient du boulot et qu'ils passaient pas leurs journée devant des blogs... Non je rigole madame, je vous en prie, ne portez pas plainte après nous, nous ne sommes qu'un simple couple d'internautes anonymes... (dans les années 80 on était célèbres quand même...
RépondreSupprimerLa démagogie encore et toujours.
RépondreSupprimerC'est un débat populaire et populiste de bas niveau : "oh non, ces propos sont tellement horribles, les photos tellement choquantes ! Je n'emmènerai jamais mes futurs enfants se faire vacciner chez le docteur ! Quitte à ce qu'ils aient la polio !"...
C'est peine perdue de discuter dans le vide.
Qu'importe les justifications : ne pas tout confondre entre corporation et étudiants en médecine, ne pas faire d'une extrême minorité de personnes une généralité, ne pas tomber dans la diffamation...
Peut-être une certaine frustration de par notre réussite professionnelle ? :-D
Une procédure judiciaire sera peut-être plus constructive (cf les personnes qui porteront certainement plainte).
la nat
président du critérium n'est pas un job à vie, il se pourrait bien (même si cela dépasse votre esprit obtu) que ce soit la présidente du critérium d'une autre année...
RépondreSupprimermaintenant c'est aussi le job d'éviter les dérapages contre les étudiants en médecine qui sont légions ces temps ci, c'est gentil de nous cracher à la gueule derrière un écran, ensuite le critérium ne dérange personne et ne remet pas en cause notre aptitude à être de bons médecins, et si ce concept AUSSI vous dépasse, c'est bien dommage...
d'autre part les propos sont exagérés, sélectionner le trash est facile, le critérium reste une rencontre entre les étudiants en médecine de toute la france, et on y noue des rapports interrégionaux, désolé de briser votre rêve d'un "cirque humain"
De la mousse au chocolat ! HAHAHA
RépondreSupprimerElle est bien bonne !
Et les pin's qui sont sur votre béret si vous nous raocntiez un peu comment vous les avez gagnés ?
Ce ne sont pas des prix de vertu, ni des rosières que je sache.
Franchement ce qui est montré dans cet article est encore bien sage par rapport à ce qui se passe dans certains week ends d'intégration, donc un peu d'humour SVP, au lieu d'appeler la police dès qu'un article ne vous brosse pas dans le sens du poil.
Signé : un étudiant en médecine, que cet article fait bien marrer.
Ce que j'aime avec ce genre d'article c'est la neutralité et l'absence de sélectivité dans les faits énoncée...
RépondreSupprimerSans rire peux tu me dire comment tu oses faire un article aussi démagogique en te cachant derrière des phrases joliment tournées afin de passer pour un apprenti "reporter sans frontière" ?
Ce criterium dont tu parle avec tant de partialité j'y étais et je peux te dire bravo pour ta "prise de risque" en deux jours tu as réussi a boire tellement que ton corps était en manque d'alcool(chose scandaleuse que bien sur on t'as forcé a faire), tu as apparemment pris des substances qui t'ont fait "cracher tes poumons" (la encore tu as fais ça pour l'amour de la vérité), et tu as fait boire une fille pour l'emmener au baisodrome (par pur esprit journalistique encore une fois) mais ta sensibilité t'as arrêté à temps (une noblesse d'âme comme on en voit rarement). Quel investissement !
La réalité que tu exposes et présente comme une généralité est très loin de représenter ce qui se passe réellement; tu fais des amalgames assez honteux et tu te permet d'afficher des photos pour lesquels tu ne possède aucun droit ( ce qui montre encore une fois ta notion assez personnelle de l'étique).
En résumé tu as payé ton séjour, bu plus que de raison, très certainement pris des substances peu recommandées et dans le même temps tu as pris des photos du domaine du privé que tu t'es empressé de mettre sur le net en toute illégalité. Tout ceci remet sérieusement en doute le contenu de ton "article". Comme je l'ai dit plus haut j'étais là moi aussi donc je peu dire que ton article est un scandale et est diffamatoire, une énonciation très sélective de la réalité avec même par endroit des faits qui sortent tout droit de ton imagination.
Ne te prend pas pour un ethnologue qui a réalisé un travail de "sociologie"; tu n'es qu'un type qui a été faire la fête pendant 2 jours sans aucune restriction et qui a décider de se prendre pour un journaliste a son retour mais pour le coté journalistique essaye encore(ou pas) et pour le respect (des gens et de la vérité) là, t'as tout a apprendre...
Quand on s'expose pareillement à la vue de tous avec le cul à l'air et la bite dans la bouche, je ne suis pas certain que vous puissiez crier au loup et à la diffamation!
SupprimerVous voulez vous démonter la tronche et le reste... pour vous permettre un jour de juger les gens qui viendront vous voir pour des problèmes bien moindres... Haha elle est belle la médecine!
Madame la présidente, Monsieur rubio
RépondreSupprimerNon mais franchement j'ai jamais lu autant de bêtise.
cet article ne juge jamais, au contraire, il va presque jusqu'à justifier les choses qui peuvent se passer dans de telles circonstances. jamais il ne fait de généralités, c'est vous qui les faites. personnellement je prends ça comme un aveu de votre part. D'ailleurs c'est bien connu, il n'y a jamais de coma éthylique dans les soirées et crits de médecine, ça se saurait! et qu'est-ce qu'on répond? "oui mais en hec ils font pire!" quelle classe!
quel à propos!
je ne comprends pas pourquoi vous vous sentez agressés, jamais l'article ne vous juge. je connais assez bien l'auteur pour savoir que c'est un alcoolique, comme moi, que lorsqu'il parle de la revanche des moches il est assez lucide sur lui-même. Et jamais n'a été dit que cela faisait des mauvais médecins... c'est vous qui faites le rapprochement...
cet article ne parle même pas des hélicoptères et autres crâme ta couille!
Alors, svp, halte à l'hypocrisie!
Assumez que diable!
Le seul défaut de cet article, à mon sens, est de parler de faits qui, pour quelqu'un qui connaît vaguement un étudiant de médecine, sont archi-connus!
monsieur le rédacteur si tu baisses ton froc, t'es vraiment un baltringue!
Alain Nonyme
les pin's, on les gagne en les échangeant contre d'autres faluchards lors de rencontres inter fac, pas en mangeant du caca...
RépondreSupprimerEt, alain nonyme, il y a une différence entre faire la fête une semaine dans l'année, puis pendant quelques soirées, et être alcoolique... Les étudiants en médecine ne se revendiquent absolument pas alcooliques...
Toute la rédaction de Cul Sec ne peut que souscrire à la courageuse lucidité du précédent commentaire. L'article de notre confrère n'a fait que raconter, avec il est vrai beaucoup de subjectivité (parfaitement assumée), des faits dont chacun d'entre vous, mesdames et messieurs les outrés, connaît la véracité. Alors commencer à nous menacer d'attaques en justice... non mais franchement on croit rêver ! Votre attitude hypocrite est mille fois plus méprisable que les pratiques scatophiles bien innocentes décrites dans l'article.
RépondreSupprimerMalheureusement, il y a une incompréhension aussi grande qu'un fossé.
RépondreSupprimerQue le rédacteur soit un alcoolique chronique à la limite... Ca le regarde hin ^^
Les réactions sont vis à vis :
- de la généralisation que font beaucoup de vos lecteurs à lire leurs commentaires qui m'ont tout simplement outrée. L'article le suggère-t-il ?
- de photos, qui au delà du droit à l'image qui est bafoué, rendent l'article aussi passionnant que ce qu'on pourrait lire dans des magazines de scoops trashs de bas étage (dont je ne citerai pas le nom). C'est l'oeuvre d'un sociologue ou bien d'un voyeuriste, sérieusement ?
C'est comme si j'allais à une soirée entre amis que je ne connais pas, que je prenne des photos des choses les plus inconvenantes que j'ai pu voir, et que je le balance sur un site vu par tous. Et que mieux, je fasse une analyse sociologique dessus...
Vous voyez où je veux en venir ? C'est un regard subjectif : dans cette soirée de gens que je ne connais pas, la majorité s'est peut-être simplement contentée de boire, rire et retrouver des amis.
Notre réaction semble certes "hypocrite", mais ça n'est pas la vision que beaucoup d'entre nous avons.
Cependant je doute que ce que je viens de dire n'ait une quelconque retombée pour la suite...
Non mais jusque là c'était drôle, maintenant ca deviant affligeant :
RépondreSupprimerOUI C'ETAIT DE LA MOUSSE AU CHOCOLAT !!
Vous croyez vraiment que les types iraient se rabaisser à chier dans un seau pour aller se le tartiner dessus après ?? Putain les mecs vous faites style "oui euh tout caaaa on ne fait que raconter la véritééééé" ben ca pour sur on a jamais vu plus naïfs que vous...
Vous êtes de la même catégorie que les cons et les flics qui ont cru l'an dernier que des critards avaient ramené un bouc et qu'ils allaient l'égorger en public en gloire à Satan...
Le reste je m'en branle, quasiment tout est vrai -- même si vous êtes trop stupides pour comprendre qu'au crit, comme partout ailleurs dans le monde (sauf chez certains extrêmistes) ON FAIT CE QU'ON VEUT, rien ne nous est imposé, ce qu'on choisi de faire on l'assume, mais c'est trop facile et trop tentant de votre part d'amalgamer ces 2000 personnes en une seule population aux mêmes faits et gestes... -- mais continuer à diffuser des fausses informations et accuser les gens de scatophilie en public comme ca faut vraiment être con, excusez moi du peu.
Et comme l'a dit la présidente (qui sait de quoi elle parle quand même), le coup de la cellule de dégrisement et autres débilités, c'est faux alors pourquoi continuer de mentir ?
A mon avis cette attitude est bien pire que notre soit disant "hypocrisie"...
Bref je suis d'accord avec le dernier commentaire, ou veux tu en venir cher auteur ? Tu veux concurrencer Entrevue ?
Je pense que ca dérangera personne, on est blindés maintenant, mais honnêtement balancer des photos comme ca et SURTOUT des fausses informations, calomnier à ce point...ca ne te fait pas honneur.
Bah et pourquoi pas après tout? Apparemment ils se rabaissent tout seuls en sucant leurs collègues devant tout le monde et dégueulent partout... pissent sur les gens également, hein!
SupprimerPar contre, vous vous en branlez mais pour assumer, là il n'y a plus personne... haha
Réponse séparée au commentaire sur les pin's :
RépondreSupprimer- Si tu veux parler du "potager" (aaah ca ca plait hein, du sensationnalisme !!!), je peux t'expliquer que cela fait maintenant quelques années qu'il n'est plus trop plébiscité dans la plupart des villes. Et quand il l'est, c'est toujours dans le respect des personnes, et surtout avec l'assurance que les protagonistes sont sortis couverts...La plupart des carabins ont été impliqués à un moment ou à un autre dans les campagnes de santé publique (prévention, JMS, téléthon on en parle en ce moment...) et sont donc très sensibles à ces sujets ! Je crois pouvoir dire solennellement qu'aujourd'hui RIEN ne peut nous être reprochés, à nous faluchards, vis à vis de ce folklore estudiantin. Et dans tous les cas ca ne peut pas être pire que les manuels d'éducation sexuelle aux USA, ou bien dans les milieux intégristes cathos/musulmans...
- Si tu veux parler de tous les autres pin's, voilà leur énumération quasi complète classée en thèmes et leur provenance :
*évènements étudiants/congrès/campagne santé pub/solidarité locale/échanges/... : fabriqué par l'organisateur, distribué aux participants
*ville : fabriqué par l'asso étudiante, ou l'asso falucharde de la ville, échangés à l'occasion de rencontres inter-facs
*club/groupe/ordre : fabriqué par les membres dirigeants, le bureau, donnés aux membres (et échangés par eux par la suite mais plus rarement)
*insignes : achetés à un fabricant spécialisé, ils retracent notre filière, nos centres d'intérêts, nos postes associatifs,...en conjonction avec les écussons et les rubans de couleur.
Après l'autre débat c'est de savoir si c'est "débile" ou "amusant", "folklorique", "inutile",...
Ce ne sont pas des prix de vertu non, mais je te ferai remarquer qu'aujourd'hui dans notre beau pays la France, on donne à tout un cabinet ministériel une distinction de l'ordre des Arts et des Lettres
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_des_Arts_et_des_Lettres
http://www.numerama.com/magazine/14421-arts-et-lettres-le-chauffeur-d-albanel-aussi-recompense.html
Je te laisse méditer.
Écoutez les amis, toute cette discussion commence à devenir un peu ridicule. Au cours du mois de novembre, très exactement 42 personnes sont venues sur ce blog. C'est dire à quel point l'honneur des facultés de médecine françaises a été traîné dans la boue publique. Vraiment, n'est-ce pas honteux de vous avoir jetés ainsi en pâture à la furie médiatique, pauvres étudiants malheureux que vous êtes ? Je vous propose une réconciliation générale autour d'un bon seau de merde.
RépondreSupprimerExcellent papier, ça m'a bien fait marrer. Et les réactions de la "présidente du crit" et de certains anonymes, comme celui au dessus de moi, rajoutent encore plus de cachets à tes propos.
RépondreSupprimerDéjà il faut arrêter avec ce fantasme qui consiste à dire que le journalisme doit être fait d'objectivisme. C'est comme proclamer que tous les étudiants en médecine ont mangé leur caca un jour ou l'autre, ou bien encore que toutes les présidentes de Critérium ont été élu Miss Gorges Profondes dans le "Baisodrome" pour accèder à ce poste tant convoité.
A l'évidence, l'appelation "reportage en immersion" de cet article à plus une vocation humoristique que celle d'obtenir le futur prix Pullitzer. Quant à l'analyse sociologique "Bourdieuxesque" , on a bien compris là encore qu'elle n'était pas faite pour atterrir dans les manuels de sciences humaines. Et vos menaces de plaintes sont juste une preuve de puérilité vis-à-vis de la critique. Vous vous êtes sentis blessés de voir qu'une "taupe" avait trahi votre confiance, alors voilà, on menace.
J'espère simplement que ce genre de papier n'amènera pas les futurs médecins à changer leurs pratiques festives, de peur qu'un méchant journaliste les épient afin de divulger leurs agissements au grand public. Car oui, n'ayons pas peur des mots, Cul Sec doit avoir au minimum un lectorat d'un million de personnes !
Bien à vous
Oui le crit c'est ça et pas seulement, arrêtez de prendre cet air choqué et de dénigrer l'avis de chacun. Effectivement l'auteru (pas très malin) de cet article dénonce des comportements qui ne correspondent pas à l'attitude de la majorité des étudiants en médecine. Evidemment une équipe se décarcasse pendant un an pour organiser le crit et profiter de l'évenement. Oui il y a des choses choquantes et extrèmes au Crit, et même en dehors des études de médecine je le sais, je ne fais pas moins confiance à mon médecin et encore moins si il me disait qu'il y avait été organisateur! Arrêter de vous monter le bourrichon, de balancer que les études de médecine sont stressantes etc. D'autres professions sont mille fois plus stressantes et surtout mille fois moins payées! Et les études idem! Oui l'auteur est un idiot qui dénonce quelque chose auquel il a participé avec entrain alors arrêtez l'hypocrisie, le Crit a majoritairement cette image dégradante, tant pis, vous qui y étiez et qui êtes responsables le savez le crit c'est loin d'être ça et tant pis pour ceux qui pensent le contraire (car ceux sont ceux qui entretienne cette réputationen y participant)! Et tant mieux ça vous fait de la pub, certains ne viennent que pour le sexe et l'alcool, pas la peine de se leurer. Bref je trouve dommage de resortir toujours les mêmes vieux dossiers et qu'ils entraînent toujours autant de réactions virulantes... Soyons adultes, juste adultes...
RépondreSupprimerEmilie
Etudiante en lettres, ni falucharde ni quoi que ce soit, juste réaliste!
Dommage que les photos soient toujours en ligne ca nous a bien fait rigoler vos soit disant soirées de folies =)
RépondreSupprimerVous savez pas vous imposer ^^
Jeb a écrit :
RépondreSupprimer"même si vous êtes trop stupides pour comprendre qu'au crit, comme partout ailleurs dans le monde (sauf chez certains extrêmistes) ON FAIT CE QU'ON VEUT, rien ne nous est imposé, ce qu'on choisi de faire on l'assume".
Ben si vous assumez pourquoi vous voulez porter plainte ?
La prochaine fois si vous voulez pas qu'on vous reconnaisse sur les photos tartinez vous le caca directement sur la tête au lieu de jouer avec !!!
RépondreSupprimer@ Jim: atteinte à l'image, tu ne sais pas ce que font ces gens dans la vie...
RépondreSupprimerQuels gens ? Ceux avec des carrés noirs sur le visage ?
RépondreSupprimerMoi je n'ai pas de carré noir sur le visage ... (le type au fond en treillis et pull jaune sur la deuxième photo). D'un autre côté, je me fous d'être reconnu.
RépondreSupprimerPar contre, les gens qui ont des carrés noirs sur le visage sont largement reconnaissable dès qu'on clique sur la photo pour l'agrandir, de plus, leurs initiales étant écrites sur leur faluche, leur surnom sur leur faluche et le pull (pour ceux qui en portent), je comprend que cela les gêne.
Je n'ai rien contre l'article, il est subjectif, comme tout article ; il comporte malheureusement des bêtises (caca, garde à vue), mais on ne peut décemment s'en plaindre : c'est nous même qui colportons ces rumeurs quand nous sommes au crit. Il est du reste fort bien écrit et assez drôle.
Je pense simplement qu'il serait très appreciable de retirer les photos ! Cela pourrait nuire a énormement de gens.
En tant qu’auteur du texte, je vais me faire une joie de répondre à ce flot de commentaires. Mais avant je vous encourage à aller aussi faire un tour sur les autres articles, ça me gêne de recevoir toutes les attentions au dépend de mes collaborateurs, c’est injuste, ils écrivent aussi bien que moi.
RépondreSupprimerBon qu’est ce qu’on peut retenir de ce qui a été dit plus haut ? D’abord que j’ai touché un point sensible, ça fait plaisir d’énerver les faluchards les plus extrêmes, ceux qui sont sous-cortiqués sous leurs chapeaux, de froisser ceux à qui l'autodérision est totalement étrangère, ça prouve que j’ai touché juste. J'en eux pour preuve cette diarrhée de commentaires haineux et cette censure qui prend la forme de menace de procès.
Passons rapidement sur les questions secondaires.
Le débat sur la merde ? Tous ceux qui étaient autour ont compris comme moi qu’il s’agissait bien de ça. Je n’ai pas poussé le professionnalisme jusqu’à la goûter comme les deux participants. J’ai bien sûr passé sous silence un tas d’autres anecdotes toutes aussi croustillantes. Je ne voulais pas lasser les lecteurs par une accumulation interminable d’actions du même tonneau. Comme le souligne le commentaire précedent, il y a une certaine ambivalence chez les carabins qui colportent les rumeurs et s'en font une fierté, mais crie à la diffamation dès que ça sort de leur cercle.
Les menaces de procès ? Maintenant que les cadres ont été agrandis, les personnes sont méconnaissables, cachant complètement les visages, ils soulignent d'autant plus les autres parties du corps. Le seul procès dont il pourrait être question, ce serait plutôt celui d’exhibitionnisme sur la voie publique, voire de racolage, qui pourrait être fait aux trois lurons de la 1ère photo.
Sur le fond, évidemment tous les critards n’étaient pas aussi extrêmes, ça me semble être du bon sens. J’ai partagé de très bons moments avec certains, certaines. Mais la spécificité de cette semaine, c’est justement de permettre tous les comportements, j’ai préféré narrer les plus inhabituels. Je n’ai pas cherché à me moquer d’individualités, mais à pointer du doigt un état d’esprit, une atmosphère où les inhibitions se relâchent (comme les sphincters, l’alcool aidant aux premières et les poppers aux deuxièmes). Comme je l'ai écris plus haut, c’est une évidence fastidieuse à répéter : tous les étudiants en médecine ne sont pas d'obscènes partouzeurs scatophiles doublés d'exhibitionnistes lubriques. Mais menée par une minorité visible (souvent avec une faluche sur la tête) et active, les débordements du CRIT reflète un état d'esprit carabin (les trois B rabelaisiens : bouffe, boisson, baise) poussé à l’extrême. D'ailleurs beaucoup d'étudiants critiquent ces débordements, mais en silence, le monopole de la parole et du folklore étant réservé aux plus extrêmes. Malgré les cris d’orfraie de la présidente de l’événement, il y a là une dynamique d'intégration par l'excès que je trouvais intéressante à montrer. Les soirée médecines sont connues, voire aimées pour ça. Un point c'est tout.
C’est un papier d’ambiance, qui ne se voulait pas moralisateur, mais drôle, gonzo, subjectif, personnel. Je n’ai pas inventé les faits, ni monté les photos, ni forcé les participants à faire ce qu'ils font. Si certains s'irritent de se reconnaître dans ces comportements, que ça hérissent d'hypocrites faluchard(es) de se retrouver face à leurs propres cochonneries, je leur conseillerais d’aller retourner jouer avec leurs excréments et que grand bien leur en fasse.
Et pourquoi ne pas simplement retirer la 2ème photo, celle où il y a le plus de monde (cadres ou non) ? Cela diminue-t-il la "qualité" de l'article ? Ou alors c'est juste pour contrarier ? Auquel cas c'est assez puéril comme attitude...
RépondreSupprimerQuel débat quel débat !
RépondreSupprimerMerci au CRIT de donner autant d'importance et de visibilité à Cul-Sec. Voilà comment un maigrelet journal devient un grand cru.
Merci à l'hypocrisie de certains carabins qui n'assument guère leur scatophilie (bien peu répréhensible) ou leur goût du sexe sale.
Merci à Cul-Sec de m'avoir fait partager ce moment de délicatesse désespérée.
Merci à l'auteur qui a écrit comme un Houellebecq, mais avec du talent.
Si plainte déposée il y a, soutenons Cul-Sec, le blog qui n'en laisse pas une goutte (de pisse, de sperme, de vin, de bière...A ce niveau-là, on ne fait guère de différence).
Ahn-No-Nyhm
En lisant cet article, ma première envie à été de reprendre point par point les argument fournis par l'auteur en essayant de démontrer qu'ils ne sont pas fondés (il se trouve que je suis moi-même une critarde voyez vous) mais je ne ferait que reprendre ce qui a déjà été dit par Kim notamment, à savoir que tous les étudiants en médecine ne sont pas critards et que tous les critards ne sont pas scatophiles, drogués (je n'ai jamais vu circuler d'ecstasy en 3 ans de Crit et pour les joints - bien que je les condamne - il n'y en a pas plus que dans la population générale). Certes, certains ont un humour un peu particulier et des limites au delà du réel, mais en ce qui concerne, par exemple, le verre que tu devais "payer" en suçant, par exemple, il te suffisait de faire un mètre pour en avoir un "gratuit" et rien ne t'obligeait à subir le fameux dagobit si ce n'était pas ton délire...
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les populations "civiles", nous sommes les premiers effarés chaque année de constater que des "gens normaux" partagent la station avec nous, mais là il faut s'en prendre aux propriétaires de la station qui, sachant qu'ils vont nous recevoir, préfèrent le profit et louent les quelques appartements restant.
Je ne reviendrai pas sur les raisons qui nous poussent au delà des limites socialement acquises, la pression du concours, le rapport au corps et à la maladie, cela a déjà été fait. Par contre je dois te reprendre sur un point important, la faluche! Ce n'est pas le chapeau des carabins, mais la coiffe traditionnelle des étudiants. De TOUS les étudiants. Pour la petite histoire elle fut rapportée en 1888 de Bologne par les membres de l'Association Générale des Etudiants (fondée en 1884) qui y furent invités pour fêter les 800ans de la ville. Jaloux des coiffes et costumes estudiantins traditionnels qu'ils virent là bas, ils décidèrent d'adopter une coiffe qui serait commune à tous les étudiants français, et choisirent la coiffe boognaise par excellence, la faluche. Ce n'est qu'un très gros raccourci de l'histoire de cette coiffe, dont la tradition a beaucoup évolué au fil du temps mais qui est encore et toujours arborée fièrement par de nombreux étudiants en droit, science, écoles d'ingénieurs, lettres, etc. et pas seulement par les carabins, même s'il est vrai que c'est chez nous qu'elle est la plus représentée. Mais il ne faut pas confondre Crit et faluche, l'un pouvant très bien exister sans l'autre!
Le principe du journalisme (si ça en est), révéler des faits au public, est à mes yeux à la fois une qualité et un défaut, et c'est pourquoi il est du ressort du journaliste de devoir ravailler selon certains principes. Parfois ce qui est révélé est d'utilité publique, parfois non, parfois ça fout la merde car les gens ne sont pas apte à recevoir les informations divulgées. C'est le cas pour le Criterium, envers lequel de tels articles précipitent une bonne partie des lecteurs dans un état de scandalisation dont nous n'avons pas vraiment besoin, nous les critards. La preuve en est le famaux article d'Entrevue, qui nous a fait perdre une bonne partie de nos avantages en terme de partenariats notamment, dû fait que malheureusement, des gens ne sont pas capables de faire la part des choses ou pire, ne veulent pas la faire car critiquer, c'est excitant et sa fait du bien à l'estime de soi.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne notre Crit c'est simplement emmerdant parce d'autant que je sâche cet univers nous appartient et nous en avons assez de devoir galérer un peu plus chaque année à l'organiser à cause des raccourcis, des amalgammes, des racontards, vis à vis desquels l'auteur de l'article peut faire preuve d'un certain discernement mais pas toujours le lecteur. C'est pourquoi les réactions en provenance des carabins sont hostiles : cet univers est à nous, et ce qu'on aime c'est qu'on y fait ce qu'on y veut avec personne pour nous casser les burnes.
Ensuite concernant tous les problèmes d'ordre légaux comme par exemple lorsque un critard s'égare en dehors du périmètre de Crit, ils sont du ressort de la Crit Team et non pas de reporter inflitrés, que ce soit clair. La Crit Team est l'instance répondant aux problèmes relatifs au Crit, c'est déjà suffisamment de boulot pour en plus avoir à gérer la réputation qui est faite suite à ce genre d'article. Après je comprends que tu ait eu besoin d'un article sensass' ou je ne sais pas torp quoi, mais j'invite chaque journaliste en herbe à réfléchir sur tout ça.
En bref tout ceci n'a rien à voir avec de l'hypocrisie ou quoi que ce soit (j'ai moi-même fricotté avec à peu près tous les fluides corporels qu'on retrouve couramment au Crit si c'est ça que vous voulez lire), et ce que tu interprètes comme une piqure là où ça fait mal n'est ni plus ni moins qu'une grosse lassitude vis-à-vis des jugements d'avals qui nous empêchent un peu plus chaque année de nous amuser comme on le souhaite. Le fait est qu'on est entre nous, on n'est même pas contre accepter des critards d'autres filières, et on aimerait pas qu'un jour le Crit devienne trop contraignant à organiser à cause de gens extérieurs qui auraient fait un peu trop partager un univers qui ne leur appartient pas.
Ce qui est au Crit reste au Crit, cette devise n'est bien sur pas un dogme, elle est tout simplement pragmatique... Réfléchir à ce qui qu'on va dire, à qui, comment on va le dire, tout simplement. Et internet n'est pas vraiment un outil de communication connu pour sa discrétion...
quand tous les présidents, vice-président passés et futurs du CRIT seront montés au crénaux pour défendre "leur bébé"... Mais ma parole, on dirait qu'il a insulté votre mère.
RépondreSupprimerElevons le débat, pour ceux qui savent lire autre choses que des schémas d'anatomie et que ça intéresserait de se questionner sur leurs crispations identitaires, un petit ouvrage d'anthropologie
GODEAU (Emmanuelle), L’« esprit de corps ». Mort et sexe dans la formation des internes en médecine
Citation du résumé : "C’est à l’internat que les anciens imposent aux jeunes des sévices sexuels aussi graves qu’humiliants en guise de bizutage, ici nommé « baptême ». L’anthropologue explique que ce rapport à la nudité pornographique permettra ensuite au médecin de désérotiser le corps nu des patients dans son cabinet."
Je ne sais pas qui est cet "Anonyme" à la personnalité schyzophrénique, mais je tenais à signaler qu'il alimente à lui seul le débat de manière quasi onaniste. Passons.
RépondreSupprimerJe soutiens Cul-Sec de tout le poids de ma graisse , de mon sang et de mon sperme. Quant à mes autres sécrétions ou déjections, aussi nobles soient-elles, je les répands en de larges gerbes sur toute la bêtise, tout le corporatisme et toute l'inculture béante qui émanent de la plupart des commentateurs.
Que les crétins se sentent offensés. Ainsi soit-il.
Post Commentarum : j'aime beaucoup le caca.
Bonjour,
RépondreSupprimerJe suis moi-même journaliste, en possession de la carte de presse. Je soutiens l'auteur de cet article. J'affirme qu'il a réalisé un excellent travail. Et qu'il est risible de s'attaquer à son manque de moralité.
Il n'est ni honteux ni inutile de pointer du doigt ce genre de comportement estudiantin. En particulier s'il s'agit d'étudiants en médecine, appelés, comme le soulignait l'un des détracteurs de cet article, à occuper des fonctions sociales importantes.
Quant à la manière de l'auteur d'obtenir ses informations... elle est parfaitement légitime. L'un des objectifs de notre profession est de mettre en lumière ce que certains voudraient laisser dans l'ombre. C'est le rôle du "quatrième pouvoir". Nos flirts avec l'illégalité ou l'amoralité sont justifiés par la nécessité d'informer le public.
Pour citer quelques exemples pas si vieux que cela... S'il est nécessaire de "faire la planque" devant la maison de Silvio Berlusconi pour révéler qu'il a des relations avec des jeunes filles mineures, nous faisons la planque. S'il faut payer des domestiques pour obtenir d'eux la preuve que certains députés anglais dilapident l'argent public pour leur propre compte, nous payons.
Et s'il faut s'immerger dans une soirée de débauche pour décrire la manière dont certains étudiants s'amusent, nous nous immergeons. Certes, beaucoup aimeraient que les journalistes soient "dressés" et recopient les communiqués officiels. Certains le font... mais pas tous ! Ainsi, mesdames et messieurs les futurs médecins, si vous vous adonnez à ce genre de pratiques, attendez-vous à ce que certains petits futés se glissent encore dans ces soirées que vous préféreriez privées.
J'ajoute que, aucune personne n'étant identifiable ni dans le texte ni sur les photographies (un prénom ou la couleur d'un T-shirt, c'est nettement insuffisant) vous perdriez votre temps et votre argent à engager une quelconque procédure devant la justice. Le meilleur conseil que je puisse vous donner est donc le suivant : si vous ne voulez pas être traînés dans la boue, ne vous y jeter pas. De cette manière, quand vous verrez un article relatant ce genre "d'exploits", vous rirez au lieu de rougir de honte.
Clément, journaliste.
Moi ce que j'aime bien dans ce genre de débat ce sont ceux qui pensent plus haut que les autres... Tout ce qu'on essaye de dire, plus ou moins maladroitement et que vous ne semblez pas vouloir comprendre, c'est qu'on fait rien qui mérite de ne pas nous ficher la paix, ou qui vaille le coup de se planquer et faire ce genre d'acte journalistique hautement héroïque... Enfin si vous pensez servir la Cause en traitant ce genre de sujet tant mieux pour votre égo, mais personnellement je n'y voit rien de comparable avec un politique abusant d'enfants mineurs ou dilapidant des fonds à but personnel. L'article est très bien écrit et je dirai même drôle, mais brosser un portrait presque vertueux du journalisme à partir de CA, en le comparant aux chasses aux gros bonnets abusant de leurs pouvoirs dans la plus pure illégalité et immoralité ça me fait bien rigoler, m'enfin...
RépondreSupprimerCa ne dénonce rien c'est du sensass', bien écrit certes je le répète, mais comme on en voit dans Choc où ce genre de magazines.
Enfin bref si c'est ça le journalisme aujourd'hui j'imagine qu'il n'y a rien à ajouter, revenez quand vous voulez peindre le portrait du Crit qu'il vous siéra. Les portes seront ouvertes et les étudiants en médecine toujours là pour permettre à quelques reporters en manque d'article d'utilité publique de faire leurs choux gras de nos "idioties"...!
Sur ce je vous tire ma révérence ! Hasta la vista bye bye
C'EST CA VAS-Y CASSE TOI ET REVIENS PLUS NOUS FAIRE CHIER.
RépondreSupprimer"On ne fait rien qui mérite de ne pas nous ficher la paix" : en êtes-vous bien certaine ? Sans faire un sondage, demandez donc autour de vous si beaucoup de gens trouvent normal qu'un groupe important d'étudiants passe un week end à boire énormément, consommer un grand nombre de substances illicites, et pratiquer d'autres activités dans des conditions sans doute largement insalubres et une hygiène plus que douteuse ? Ne pensez-vous pas que ce genre d'évènement ne représente pas un sujet digne d'intérêt ?
RépondreSupprimerJe vous mets par ailleurs en garde : vous semblez considérer que seuls des magazines comme "Choc" pourraient s'intéresser à ce genre de chose. Détrompez-vous. Reprenez ce sujet, écrivez-le de manière moins fantaisiste, enlevez les photographies les plus "trash"... et surtout, adjoignez-y quelques "plus". Par exemple, des chiffres sur les accidents (de toute nature) qui découlent de ce genre de soirée (parce qu'il y en a. Pas forcément chez vous, ou pour cet évènement précis, mais il y en a). Eh bien vous obtenez un sujet tout à fait "vendable" pour des médias beaucoup plus convenables que celui que vous évoquiez. Point n'est besoin d'être Premier ministre italien ou député Anglais pour mériter un journal digne de ce nom ! J'imagine que vos profs et chargés de TD apprécieraient...
Alors, continuez vos idioties (que peu de personnes, au demeurant, placeraient entre guillemets comme vous le faites), fermez les yeux sur ce que vous représentez et sur les conséquences que cela peut impliquer, continuez à considérer que vous êtes "juste des étudiants qui s'amusent" avant d'être les martyrs d'une presse "en manque de choux gras"... mais ne vous plaignez pas qu'un média ou un autre vous fasse un jour un peu de publicité gratuite ! Croyez-moi, vous la méritez largement !
Clément
http://www.youtube.com/watch?v=Pqoe2aBUI9A
RépondreSupprimerC'est juste un reportage où les protagonistes sont pas du tout reconnaissables (xD) et où les même protagonistes/organisateurs/aigris n'assument pas qu'on ne fasse un article que sur les "derives" liées à une beuverie (que personne n'a refuté)
RépondreSupprimerCe qui m'inquiete c'est pourquoi ce genre de soirées n'est pas mieu surveillé ou effectué ailleurs dans un coin totalement dédié
Ou pourquoi vous ne louez pas la station entiere pour evitez de faire passer un mauvais sejour aux vacanciers. C'est pas a la station de refuser les locations c'est a vous de mieu tenir vos derives ou d'assumer en louant toute la station..
Tien je vais proposez cette amendement pour l'année prochaine :)
Ps : les photos sont toujours la et nous font toujours aussi rire dans mon école ^^
Merci à tous, carabins et commentateurs anonymes, pour la publicité que vous nous avez gracieusement fournie ! Grâce à vous, de plus en plus de gens pourront venir sur ce blog pour y découvrir, en image, les secrets des soirées médecine. N'oubliez pas de devenir fans de Cul Sec sur Facebook :
RépondreSupprimerhttp://www.facebook.com/home.php?#/pages/CUL-SEC-le-blog-qui-nen-laisse-pas-une-goutte/146225387980?ref=ts
Je pense que le forum hardware fourni une partie de la pub puisque un lien vers cette page est disponible dans le topic "des conneries sous l'effet de l'alcool"...
RépondreSupprimerCe reportage va devenir célèbre!
Salut,
RépondreSupprimerJe pense que que je vais envoyer le lien vers les membres des bureaux des syndicats nationaux d'externes et d'internes en médecine, histoire de faire de la pub pour le journal de mon cousin Valéry et de ses potes. C'est bien, je suis fier de toi!
J'espère que tu vas prendre exemple sur Clément et que tes prochains articles auront le même Impact Factor.
Bien joué Clem'! C'est le bon déclic, ton passage en médecine n'aura pas été vain. Tu y as peut-être trouvé ta voie.
Bises à la rédaction.
PS Quand vous revoit-on sur Lyon histoire de boire des canons à une soirée de l'internat?
http://www.assietteaubeurre.org/poivrots/poivrotsbis_jpg/poivrot_p16_q15.jpg
RépondreSupprimerJe pense qu'on n'a pas vécu le même Crit tout simplement... Comme dit plus haut, la plume est belle, l'art de l'écriture est manié avec aisance mais le fond est critiquable... Déjà il faut savoir prendre le vrai du faux comme la souligné la présidente du Crit et les méchants carabins scatophiles (bouh pendons par les couilles)... qui jouent avec de la mousse au chocolat (car faut arrêter je veux bien que le crit soit trash mais pas à ce point là...)
RépondreSupprimerEnsuite comme souligné chacun paye son Crit et y va en son âme et conscience, ce n'est pas un rassemblement scout et ça n'a jamais eu la vocation de l'être...
Chacun vit son crit comme il le veut et jamais personne ne t'obligera à faire quoi que ce soit... Et pour rebondir sur ce que tu dis des drogues je n'ai JAMAIS vu à un seul crit de l'ecstasy circuler... Et vu l'épidémie de gastro je pense pas que beaucoup aient pris de laxatifs per nasal...
Bref chacun est libre de penser ce qu'il veut mais les photos mêmes avec les carés sont clairement une atteinte au droit d'image des personnes... C'est un évènement privé, les seuls ayant droits sur les images et disposant des autorisations sont la Crit Team et eux seuls... Les gens sont reconnaissables... Fait attention tout de même...
Et j'aimerais rebondir sur le fait de juger notre pratique future sur une semaine dans l'année... En quoi aller me la coller une semaine fait de moi un mauvais médecin ? En quoi cela va-t-il m'empêcher de soigner mes patients convenablement ? A ce que je sache tu n'es pas derrière tous les carabins et tu ne vois pas le travail que l'on fournit le reste de l'année pour nous exams/stages/ECN...
Donc je n'ai qu'une chose à dire en conclusion : Merci pour ce crit de folie vivement le prochain et en espérant ne pas te voir !
Critardialement !
Reportage vraiment amusant, palpitant parfois, une vision personnelle interessante du journaliste ...
RépondreSupprimerAvec image choquante, écriture et anectode parfois perverse, situation extrème mais style plaisant ; tout est fait pour attirer le regard du profane, essayer de le conserver , l'amener à la ligne suivante puis à la fin du l'article.
Et ça a de la gueule, ça paie.
Le profane, le lecteur...mais de quel coté va-t-il prendre cet article ? Va-t-il être heureux ? Surpris ? Choqué ?
Et bien il va se représenter l'article du coté qu'on lui présente, par sa forme la plus bestiale, choquante et perverse...et va s'en imaginer à son tour des images déformés plus ou moins flous, virtuels sans valeur et sans doute faussé.
Et pourtant et pourtant, sous cette description "effrayante" quoique plutôt amusante pour un critard...que ce critérium m'a laissé de bons souvenirs...Ceux qui n'y sont pas, ceux qui n'y sont jamais allés ne comprendront pas, ne comprendrons jamais...
Festivité dont sexe, alcool et autre, cela a été tant décrit bien sur, mais je n'ai lu que très peu sur ces points là : convivialité, ambiance, rencontre, ski (et si...tant de commentaire mais pas un seul dénotant des compétitions entre ville , quelle déception...) ;
Pas de détail à fournir, ce qui est au crit reste au crit...
Mais cessons ces critiques ; certain diront que la vie est faîte pour être vécu de la manière dont on le souhaite...d'autre pas.
Chacun son jugement.
Et c'est tant mieux.
[img]http://savatier.blog.lemonde.fr/files/2008/11/hkhypo.1226857984.jpg[/img]
RépondreSupprimerChasser la foi et les valeurs... et il vous restera un peuple de Bêtes!!!
RépondreSupprimerRien que de la Merde!
Vous n'êtes RIEN!
Vous ne valez rien!
Diaboliques personnages!
Des animaux, des bêtes, de la Merde!
RépondreSupprimerIls ne se considèrent même pas eux mêmes!
Rien d'humain!
Aucune intelligence!
De la Fange!
Vous n'êtes RIEN!
Vous ne méritez rien!
Guidez par vos plus bas instincts... Il ne restera pour vous que l'avortement et l'euthanasie!
Le meurtre, le suicide... Voilà ce qui vous attend!
Aucune finesse, aucune culture, bon à rien juste à toucher de la viande et à tuer!
Biabolique!!!!
Des animaux rien d'autre!
RépondreSupprimerBon pour être franc-maçons!
Bon pour tuer: euthanasier et avorter!
Voilà ce qu'ils feront!
Ils sont mûrs pour l'assassinat!
Des animaux! ce ne sont que ça!
Reportage médiocre pour un pseudo journaliste qui se veut moralisateur.
RépondreSupprimerLaissez vivre les gens et faire ce qu'ils ont envie de faire entre eux.
Attention aux photos. Même les scato comme tu les appelles ont le droit d'etre défendu devant un juge pour atteinte à l'image...
Je ne reviendrai pas sur les "arguments" de cet article, tout à été dit dans les réactions des lecteurs, il me semble.
RépondreSupprimerJe voudrait juste préciser que, comme cela a déjà été répété à plusieurs reprises, ce genre de "pratiques" ne concerne PAS tous les étudiants en médecine (et médecins actuels), et qu'il n'est pas nécessaire de nous mettre tous dans le meme sac et de nous traiter d'animaux et de meurtriers. Un peu de respect, merci ...
Nos amis jehova et autres emplumés hystérique de la Foi nous ont rejoint pour des commentaires d'une très haute intelligence... Il est sur qu'entre le caca et les fous de Dieu nous allons avoir de hautes éffluves spirituelles...
RépondreSupprimerBon reportage, très bonne écriture, toutefois point de vue sans doute trop orienté, du "particularisme" au "généralisme" il n'y a qu'un pas. Pas qu'un bon journaliste ne doit pas franchir.
Pourquoi ne pas élargir l'étude cher journaliste en herbe ?
Vous avez raison, je vais donc retourner cette année au CRIT pour appronfondir mon étude et combler les quelques lacunes qu'elle comporte. Comme ça tous les étudiants pourront me confier leurs doléances et leurs impressions de vive voix. Attention chers carabins me revoici !
RépondreSupprimerC'est bien dit moi tu vas dépenser 300 et quelques euros par pure dévotion journalistique et pas du tout pour te la coller !
RépondreSupprimerArrête l'hypocrisie mec et avoue le : le CRIT c'est magique et tu es tombé dedans !
L'article précédent sur la médecine te trahit!! Tu as une haine des médecins et des étudiants en médecine telle qu'il n'y a qu'une explication possible, divisible en deux points: 1.Tu as loupé médecine au moins deux fois
RépondreSupprimer2.Tu es psychologiquement instable et tu n'as ainsi jamais pu te remettre de cet échec, ces articles sont donc ton exutoire ( comme notre CRIT bien aimé), tu changes ta déception en haine...
Sache que nous avons de très bon médecin qui peuvent te soigner et t'aider à surmonter tout ça.
A bientôt dans nos hôpitaux!
Ou peut être que l'auteur est à la fois étudiant en médecine et étudiant en journalisme?
RépondreSupprimerDans quel cas, cher anonyme du 17 février, votre argumentation ne tient pas.
Un article plein d'enseignement qui fait quand même un peu froid dans le dos. On peut quand même s'amuser, et plus particulièrement avec un coup dans le nez, sans se faire dessus et pisser sur les vieux... Ils sont parfois chiants, je vous l'accorde, mais ils ne méritent quand même pas ça ;) En attendant, dans le même genre mais en plus léger, je vous conseille http://www.mameilleurecuite.com/
RépondreSupprimerSympa comme article, ecriture plaisante.
RépondreSupprimerJe suis loin, très loin de l'univers de la médecine et pas choqué pour autant.
Les futurs médecins s'éclatent au critérium ? Grand bien leurs fassent.
Ce n'est pas une société secrète...
juste pour mettre mon petit grain de sel même si probablement personne ne le lira....
RépondreSupprimerje suis étudiant en médecine et faluchard et critard de surcroît!!
Je n'ai rien à dire sur la subjectivité de l'auteur, je trouve l'article pas mal même si pour moi il y a réellement un grosse généralisation! Il est clair que sur 2000 critards il en suffit de 5 qui jouent avec leur caca pour qu'on ne voit plus que eux.... mais bon la n'est pas le problème chacun a le droit d'exposer les faits comme il les a vécus...
Moi ce qui me gène vraiment c'est le manque de recul des lecteurs. Apres tout, temps qu'on ne nuit pas à autrui laissez nous faire. On trouve bien des boites à partouze en ville, des adeptes des golden shower, des mazochistes et j'en passe... Au crit l'alcool et la communauté aide à assouvir ses penchant les plus noir et c'est fort agréable!
Le problème c'est qu'un lecteur lambda bien puritain qui lit cet article va se sentir outré (alors qu'on lui a rien demandé à Mr Lambda!), et sortir des commentaires du genre "mon dieu les médecins vont mettre du caca dans les seringues de vaccin!" (cf plus haut!).
Sans parler des politiciens bien démagogues qui vont s'empresser de prendre des mesures contre la vie étudiante car bien sur c'est un problème majeur! Et en temps qu'organisateur de soirées et WEI étudiants j'en pâtis...
Enfin bref toutes les vérités sont bonnes à dires mais pas à tout le monde
si vous avez besoin d'alcool pour vous eclater et vivrent vos penchant les plus noirs c'est bien dommage pour vous mais c'est votre probleme ,mais ce que je constate c'est qu'a chaque fois qu'il y a un reportage de fait qui vous touche tout de suite c'est la meme chose,si c'est la television :le reportage est bidonné ,il a ete monté ! et si c'est un blog c'est le meme cinema ,ça vous gene donc tant que ça que l'on montre la realite de certaines choses ?meme si cela est 'j'en suis sur' l'oeuvre d'une minorite ,cela reste a montrer tout de meme.et une derniere question,est ce que l'on trouve des boissons non alcoolisées a vos fetes?
RépondreSupprimerdans les boites a partouze les participant ne sont pas bourrés..ils vivent leurs penchant ou fantasme consciemment .Et la fille qui je cite "veut se faire rincer la chatte" prendra t elle ses precaution si elle est bourée comme un coin?
RépondreSupprimerdesolé pour les fautes
RépondreSupprimerj'espere que vous avez des rapport protégés ?
RépondreSupprimersi ce comportement l'est d'une minorite pourquoi une telle organisation?quel utilite du "baisodrome " pour une minorite?beaucoup de travail alors pour peu de monde,ou alors vous sous estimez les faits.
RépondreSupprimeret je suppose que vous trouvez malin d'obliger a sucer un gode pour avoir une boisson,heureusement que cela ne concernait qu'une minorité ,les autres ont du avoir bien soif les pauvres.on peut faire une fete sans pour autant organiser un baisodrome,mais evidement une fois passé l"alcoolisation cela devient plus difficile d'arriver a ses fins avec une demoiselle.
RépondreSupprimerj'aime bien ^^ juste une mise au point (je n'ai pas tout lu, on te l'a peut-être déjà dit) la faluche c'est pas une spécialité des cracrabins (autrement appelé médecine) c'est une coiffe étudiante, tu peux y prétendre du moment que tu est étudiant. D'ailleurs les médecines nous font une sale réputation mais on leur pardonne, on a le sentiment d'être toujours digne à coté d'eux ^^.
RépondreSupprimerJe ne suis qu'une apprentie, une petite P1, mais on m'a toujours dit "tout ce qui se passe au Crit reste au Crit", quand je demandais à mes amis internes de me raconter leurs jolies histoires... alors si la règle c'est de ne respecter le secret, à quoi bon faire un site dessus? C'est censé entraîner au secret médical non? (Bon ok, je me tais... mais il faudrait que ça reste secret, je persiste!)
RépondreSupprimerJe suis triste. Triste de ne pas avoir découvert ce blog plus tôt.
RépondreSupprimerCe blog est malheureusement mort, et comme j'aurais voulu qu'il ne le soit pas.
J'aimerais plus d'articles, plus de reportages, plus d'images d'entrevue et d'ailleurs sur ce genre de problématique.
Oui, c'est une problématique. Non je ne suis pas puritain, oui j'aime le sex et oui j'aimerais faire l'amour dans la volupté et l'allégresse de cette scène final du "parfum".
Mais....
Un grand mais...
Malgré que je veuille porter mes propos avec la plus grande des ferveurs, je vais me refuser à citer des écrits de freud, lacan, dolto, levi-strauss, Simone veille, elisabeth badinter et bien d'autres sur le sex et sa psychopathologie.
Je vais en faire simplement au bon sens et poser ici ces quelques questions pour faire réfléchir les éventuelles personnes qui liront peut-être encore cet article.
Toi étudiant et surtout étudiante, oui tu as envie d'exprimer et d'user sans doute de ta sexualité. To n besoin et ta revendication est légitime ne t'en fais pas. Toi étudiante, qui est peut-être adepte des plans culs et qui a peut-être envie de te faire "rincer la chatte" par deux ou trois ou plusieurs hommes à la fois. Posez-vous juste ces quelques questions, je vous en prie... Pour votre bien, mais aussi pour le bien de vos futurs enfants ou simplement de vos pairs.
Quelle est la société de demain que vous voulez léguer à la prochaine génération ? En quoi avez vous été contaminé par soit les rumeurs, le phantasme de votre faculté, les pornos, le sex facile ? Avez vous vraiment envie de donner cette image de la sexualité (car pour se défouler je connais de meilleurs sports que celui-la)? Ou mettez vous la limite entre problème et bienfait ? L'acte de la pénétration est déjà en soi un acte de soumission, a-t-on envie de l'amplifier jusqu'à le réduire à un simple acte d'excretion de fluides ? A t on envie que notre sexualité soit la même que celle des bonobo ? Et alors qu'est ce qui nous sépare de l'animalité ? Pourquoi ne pas garder cette symbolique romantique autour de l'acte, si vous avez envie de le faire à plusieurs pourquoi pas, mais alors pourquoi ne pas le faire dans une belle chambre tamisée entre personnes ayant un lien tangible entre elles histoire que cet acte soit porteur de quelque chose ?
Suis-je trop romantique de penser tout cela ? Peut-être... Mais qu'est ce qui vous donne cette légitimité de vous dire, on a le droit d'organiser et ceux qui veulent y participer, on les oblige pas ? Pensez vous réellement que se faire prendre littéralement, au milieu dans ces conditions où même un bonobo refuserait de procréer est génétiquement programmé chez vous ? Est il fatalement sain de réfuter toutes les découvertes en matière de psychologie que ce soit dans la sexualité ou simplement l'influence des pairs ?
Osez le débat simplement et Osez en discuter en arrêtant de vous protéger derrière des "on nous volé notre intimité".
Je pense reporter cet article sur mon blog car je pense qu'il en vaut clairement la peine par sa sincérité.
Bien à vous...
Mais ça a l'air chaud !!! OMG je le sens pas mon WEI mais pas du tout ^^
RépondreSupprimerA Lille, le fait de tremper sa bite dans le verre avant de le boire s'appelle un "Toulousain"
RépondreSupprimerLe critérium médical....que de souvenirs de baise de beuverie...LOL
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RépondreSupprimerDes parties fines je crois qu il y en a dans toutes les sphères de la société parfois avec rémunération des hôtesses... Votre député votre maire vos collègues etc ... des beuveries et des bachelor party dans tous les pays.. Il suffit de voir les hordes envahissant Budapest tous les we bref l aspiration à la transgression sexuelle toxique est un phénomène assez global qu'on peut déplorer mais en tous cas pas le seul fait des carabins... J'ai fait 4 crit ... J'ai skié beaucoup bu beaucoup mangé beaucoup fait la fête beaucoup. Me suis bien marré en gardant comme grille de lecture de ce gentil bazar le second degré qui est la seule qui ne soit pas hors sujet ... Tous mes amis critards sont mariés avec des enfants... Ils n ont jamais été condamné.. Font maintenant des hippocup et continuent de se marrer...je rappelle que l entrée au crit est payante et que la participation n'est pas obligatoire.
RépondreSupprimerJe suis parisien de 55 ans, j'ai reçu un diagnostic de cancer du foie de deuxième stade suite à un examen programmé pour surveiller la cirrhose du foie. J'avais perdu beaucoup de poids. Un scanner a révélé trois tumeurs; un au centre de mon foie dans des tissus endommagés et deux dans des parties saines de mon foie. Aucun traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie n'a été prescrit en raison de mon âge, du nombre de tumeurs hépatiques. Un mois après mon diagnostic, j'ai commencé à prendre 12 suppléments de Salvestrol (350 points) par jour, proportionnels à mon poids corporel. Cela comprenait six capsules Salvestrol Shield (350 points) et six capsules Salvestrol Gold (350 points), réparties tout au long de la journée en prenant deux de chaque capsule après chaque repas principal. Ce niveau de supplémentation en Salvestrol (4 000 points par jour) a été maintenu pendant quatre mois. De plus, j'ai commencé un programme d'exercices de respiration, d'exercices de chi, de méditation, d'étirements et d'évitement du stress. En raison de la variété des conditions dont je souffrais, j'ai subi des examens médicaux en cours. Onze mois après le début de la supplémentation en Salvestrol Mais tous invalides donc je continue à chercher une cure à base de plantes en ligne que comment je suis tombé sur un témoignage appréciant le Dr Itua sur la façon dont il a guéri son VIH / herpès, je l'ai contacté par e-mail qu'il a énuméré ci-dessus, le Dr Itua m'a envoyé sa phytothérapie pour le cancer à boire pendant deux semaines pour guérir je l'ai payé pour l'accouchement puis j'ai reçu ma phytothérapie et l'ai bu pendant deux semaines et j'ai été guérie jusqu'à présent je suis tout à fait libre de cancer, je vous conseillerai de contacter Dr Itua Herbal Center On Email ... drituaherbalcenter@gmail.com. Numéro WhatsApps ... + 2348149277967. Si vous souffrez des maladies énumérées ci-dessous,
RépondreSupprimerCancer
VIH / sida
Virus de l'herpès
Cancer de la vessie
Cancer du cerveau
Cancer du côlon rectal
Cancer du sein
Cancer de la prostate
Cancer de l'oesophage
Cancer de la vésicule biliaire
Maladie trophoblastique gestationnelle
Cancer de la tête et du cou
lymphome de Hodgkin
Cancer intestinal
Cancer du rein
Leucémie
Cancer du foie
Cancer du poumon
Mélanome
Mésothéliome
Le myélome multiple
Tumeurs neuroendocrines
Lymphome non hodgkinien
Cancer de la bouche
Cancer des ovaires
Cancer des sinus
Cancer de la peau
Sarcome des tissus mous
Cancer de la colonne vertébrale
Cancer de l'estomac
Cancer des testicules
Cancer de la gorge
Cancer de la thyroïde
Cancer de l'utérus
Cancer vaginal
Cancer de la vulve
Hépatite
Maladie chronique
Lupus
Diabète
Fibromyalgie Homme / Femme Infertilité Crampe menstruelle.