Alors que vos chattes s'éprennent de foutre incandescent, aujourd'hui, dans notre ville merdique bien appelée, Paris, des âmes sans têtes se meurent de vivre dans notre crottin bien appelé capitale de la colique, ainsi bien susnommée médiocre apparat sans contrôle de soi, d'une diarrhée abominable de filaments verdâtres sans teints, ce qui soit dit en passant, ne mérite pas mieux que l'once d'une cheville foulée de gros con fat de sa propre nuisance merdique; ainsi court-il de l'existence impossible et fictive du quotidien fantasmé de nos chers âmes éthérées d'éthyle morbide n'est-ce pas: car ce qui n'est pas n'est-il pas ce qui est, si contribuant à ce que nous nommons performance, dans une tradition performative de la langue originelle telle que l'exprimaient les plus indécis quant à leur quant à soi impossible, ne sommes nous pas une franchise libérale du diable incarné en, ce qui ne demeure qu'une choséité, qui selon, l'ipséité factice des configurations construites par l'entendement médiocre de nos perspectives duales: ainsi, comme le ying et la yang sont la bourgogne et la franche comté, n'escomptons-nous pas de nos devises insatiables, une impossibilité fondamentale, de nos orées, de nos lisières claires, qui, dispersées par la hachette fendue de nos ambitions impossibles car dépourvues de libéralisme économique, nous nous enfermons dans une croyance de l'intéressement de la pensée, certes, soit-elle aussi foutrée que la chatte embaumée de colique frénétique, qui dans nos bouches fertiles, font croire à une impossibilité analytique, de nos transcendances intuitées, comme point de départ de vomi bourgeois, dans vos bouches avide de merde diluée dans la chiasse de vos vies, ces mêmes vies qui évoquent un cancer purulent, qui je vous rassure, ne touchera pas l'ontologie contrastée de vos humeurs imbéciles, vous incapables de stupidités, caractérisées par l'alcool, brulant la sève de nos membres imbéciles: imbéciles car dépourvues de quant à vous, de quant à eux, d'extrinséquité comme le triangle orphelin de la ténacité mathématicienne, ce qui n'est pas sans dénoter, une homosexualité patente, quant à l'envie de fourrer un étron dans un palais néophyte, sur les problématiques vulgarément immondes, et ils se reconnaitront, les étrons de l'inlibertée, de la captivité, les branleurs de l'impossible intuition de comptoir, comme qui dirait, de la grandeur invisible du caca bleu, du fromage haletant dans le pipi jaunâtre de nos vies liquides comme l'inconséquence de la fatuité des merdes merdiques, pareilles aux gastro-entéroloques enfouissant les déjections précieuses des chercheurs avides de reconnaissance d'orfèvre malade de sa propre vertu vertueuse, constructive d'une identité de pipi caca zizi.
octobre 17, 2009
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I'm lovin' it.
RépondreSupprimerBy Ronald M.D.
La métaphysique de la merde, bouleversant de sincèrité. On sent le vécu.
RépondreSupprimerhttp://a21.idata.over-blog.com/395x498/0/53/69/44/hara_kiri_num_110.jpg
RépondreSupprimerDiarrhée verbale, oui...
RépondreSupprimerRarement lu une merde aussi pédante. C'est vraiment de la merde
RépondreSupprimerAdolescence, quand tu nous tiens....
RépondreSupprimerLa médiocrité des premières lignes m'ayant forcé à abandonner la lecture, je ne puis juger de la totalité de l'article.
RépondreSupprimerdispensable
RépondreSupprimerDieu que c'est mal écrit ! Que c'est lourd !
RépondreSupprimerUn véritable cancer colo-rectal...
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